Il n’y a qu’un auteur pour comprendre à quel point les retours de ses lecteurs sont précieux. A quelques semaines de la sortie de l’avant-dernier tome de Dia Linn, Slán, ( le 20 juin ! ) j’ai décidé de recenser ceux qui m’ont donné le plus d’émotion, et m’ont confortée dans ma décision de poursuivre mon labeur. Parce qu’un roman sans lecteur, c’est comme… heu… une tartine sans beurre ? Un café sans chocolat ? Un oiseau sans ailes, un ciel de pluie sans pluie, une corbeille de fruits sans fruits et… Bon, d’accord, j’arrête, vous avez compris le principe 🙂
Alors voilà quelques-uns de ces précieux retours, de ceux qui donnent des ailes (oui, ça va, j’arrête ! ^-^):
Thierry, pour l’ensemble de la saga : « Cette saga, outre qu’elle est passionnante, est d’une richesse documentaire d’une densité remarquable. Je suis scotché par la masse de documents que Marie Pierre a dû certainement ingurgiter pour nous restituer toutes ces atmosphères très différentes, celle de L’Irlande celte, comme celle des États-Unis naissants, de la guerre de sécession vécue principalement du côté sudiste, faisant ressortir l’absurdité et l’injustice de ces guerres… je suis totalement dans la magie de ces romans… »
Agnès, pour le tome 1: » Un de mes rêves est d’aller en Irlande. Vous me direz, j’ai des rêves très accessibles… (… ) Donc, quand un livre me cause irish, il possède déjà un sacré atout pour me plaire. Quand de surcroît il fleure bon la tourbe et la bière, narre des révoltes et des aventures, met en scène des personnages attachants et fort bien dépeints, aux caractères trempés dans l’eau glacée des lacs , et que, cerise sur le gâteau, il nous apprend des tas de choses sur la révolte des autochtones contre les salopiauds d »envahisseurs britanniques, nous permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi ce pays a été encore récemment la proie d’une haine inextinguible entre catholiques et protestants, alors là, je ronronne de plaisir !
J’ai donc terminé, dévoré, au point qu’il faudra sans doute que je le relise plus lentement, et ce sera avec grand bonheur, le 1er tome de la série de Marie-Pierre Bardou, Dia Linn – Le Livre d’Eileen partie 1, Terra Mahurr. «
Zélie, pour le tome 2: « Dans ce deuxième tome, Marie-Pierre Bardou nous emmène loin des paysages irlandais pour nous faire découvrir l’Amérique, les États-Unis mais surtout la Louisiane, avec les différentes communautés présentes, les coutumes locales et le décor typique. J’avoue que j’ai beaucoup aimé, c’est un coin de l’Amérique que je ne connais pas bien mais que j’aime beaucoup. Et puis l’Amérique au milieu du XIXe siècle, j’adore. Je peux vous dire que nous sommes bien immergés dans le décor, les descriptions et les actions sont criantes de vérité et de réalisme. On y découvre enfin le pourquoi de la couverture du livre et la raison du prologue du tome 1. Moi qui n’y connaît rien au poker, je suis bluffée !!! (…) Et un point très essentiel pour moi, on y apprends des choses. Et j’adore les livres où quand je termine la lecture, j’ai appris de nouvelles choses. Les notes de bas de page et le glossaire à la fin sont vraiment exquis. »
Audrey, pour le tome 3: « Ce troisième tome m’a envoûtée! J’avais peur que le changement de narrateur ne me plaise pas mais au contraire il me semble qu’il était le bienvenu. J’ai adoré chaque page de ce roman magnifique où les personnages rayonnent et où l’ouest sauvage apparaît dans toute sa splendeur mais aussi sa saleté sa brutalité et son danger. J’attends le quatrième tome avec beaucoup d’impatience ! «
Cathy, pour le tome 4: « Impossible de lâcher le 4ème volume de cette saga jusqu’à la dernière page.
Toujours aussi bien écrit, fourni, et une imagination débordante de l’auteur ! On retrouve les personnages avec plaisir en pleine guerre de Sécession. On en perd certains avec regret… bip^^…
Hâte de lire le 5 ème tome ! »
Agnès à nouveau, pour le tome 5: « Les sagas ne sont pas mon « truc ». Ici, Marie-Pierre Bardou a su créer une œuvre de plusieurs tomes, où chacun a sa raison d’être, son thème propre, tout en étant relié aux autres par le fil familial.
Cette fois, dans Le Livre de Ryann, nous sommes à Chicago, en pleine époque de la prohibition. Plus que dans les précédents tomes, je me suis attachée au personnage de Ryann, sans doute parce qu’en tant que lectrice, je savais d’où il venait, qui il était, alors que lui l’ignore. Son affrontement avec Liam, personnage fil rouge maléfique, est superbement dépeint. (…) Car Marie-Pierre Bardou a une réelle curiosité historique, une véritable exigence quant à la retranscription des évènements. Vous vous divertissez ? Vous vous enrichissez intellectuellement ? Bref, la vie est belle. Et le livre vraiment bon ! À vos liseuses ! (Existe également en version papier pour les irréductibles ! 🙂 ) »
Cathy again, pour le tome 6 : « On pense toujours que le dernier est le meilleur. Et bien non. Ce tome 6 est plus que réussi, c’est mon préféré. J’adore Maav et cette plongée dans les Etats-Unis des années 50. Le passage sur les tests nucléaires nous rappelle à quel point nous étions inconscients (ou pas) à l’époque.
Un très beau tome, vivement le dénouement ! C’est pour 2016. »
Et quelques textos reçus par mes pauvres bêtas-lecteurs en cours de correction, et que je reçois (je l’avoue) avec ravissement : « Chapitre X: le meilleur que tu aies écrit !!! » / « MA-GNI-FIQUE »…// « Tu l’as tué ? Tu l’as tué ??? Non mais tu es une grande perverse, toi ! » (sic)
Alors à tous, un immense merci pour ces ailes que vous m’avez données (oui, oui, je sais…^^)Et pour mes nouveaux lecteurs, n’oubliez pas de laisser votre commentaire !
Vous n’êtes pas obligés d’être aussi élogieux, hein, quoi que, quand même… enfaisantunpetiteffortetennégociantunelégèrerétributionmaisnonjeplaisante… 🙂
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